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Avenir de la Lorraine
19 août 2017

Mémoires.

Si la lumière dans sa partie ondulatoire consiste en une vibration de la structure de l'espace-temps directement liée au coefficient d'élasticité de cette dernière, et que le corpuscule n'est que l'absorbsion par la matière d'un quanta d'énergie, la masse apparaît alors selon la formule E = mc

Mais pour des particules ayant une masse initiale, se déplaçant dans le vide entre les mailles de la structure tri-dimensionnelle, les électrons en orbite autour des noyaux forment un couplage avec elle. Quand ces particules se déplacent, une onde se déplace simultanément. On retombe alors sur la proposition de Louis Victor de Broglie, qui associe onde et matière :

« L’idée fondamentale de [ma thèse de 1924] était la suivante : « Le fait que, depuis l’introduction par Einstein des photons dans l’onde lumineuse, l’on savait que la lumière contient des particules qui sont des concentrations d’énergie incorporée dans l’onde, suggère que toute particule, comme l’électron, doit être transportée par une onde dans laquelle elle est incorporée […] Mon idée essentielle était d’étendre à toutes les particules la coexistence des ondes et des corpuscules découverte par Einstein en 1905 dans le cas de la lumière et des photons. » « À toute particule matérielle de masse m et de vitesse v doit être « associée » une onde réelle » reliée à la quantité de mouvement par la relation :

\lambda = \frac{h}{p} = \frac {h}{{m}{v}} \sqrt{1 - \frac{v^2}{c^2}}

où \lambda  est la longueur d'ondeh la constante de Planckp la quantité de mouvementm la masse au reposv sa vitesse et c la célérité de la lumière dans le vide.

Cette théorie posait les bases de la mécanique ondulatoire. Elle fut soutenue par Einstein, confirmée par les expériences de diffraction des électrons de Davisson et Germer, et surtout généralisée par les travaux de Schrödinger.

Cependant cette généralisation était statistique et n’était pas approuvée par de Broglie, qui disait « que la particule doit être le siège d’un mouvement périodique interne et qu’elle doit se déplacer dans son onde de façon à rester en phase avec elle, [fait] ignoré des physiciens quantistes actuels [qui ont] le tort de considérer une propagation d’onde sans localisation de particule, ce qui était tout à fait contraire à mes idées primitives. »

Quand par dilutions successives, on retire la matière, on diminue d'autant l'intensité de l'onde. Pour une dilution de 10, on la divise par le même facteur. On arrive alors à comprendre le paradoxe de l'homéopathie, il n'y a plus de trace de la molécule initiale sous sa forme matérielle, mais stockée dans la partie de la structure de l'espace-temps se déplaçant au travers de l'eau, l'onde électromagnétique subsiste même affaiblie. L'eau ne constitue alors qu'un média, le lien entre la vibration électronique de la matière, et l'onde qui en résulte portée par la structure de l'espace-temps. 

Luc Montagnier - La mémoire de l'eau

On peut alors comprendre le mécanisme qui sous-tend les expériences du professeur Montagné :

 

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