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Avenir de la Lorraine

22 octobre 2023

Un morceau de la structure de m'espace-temps

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Imaginer tout l'espace infini strucuré ainsi, et vous pouvez imaginer en sus la lumière et la gravitation utilisant ce support.

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22 octobre 2023

Un chat bleu déguste un verre de crémant d'Alsace

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12 octobre 2023

100 tétraèdres réguliers dans un oeuf transparents

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On commence à se rapprocher d'une représentation de la structure de l'espace-temps. La structure est infinie, et non pas contenue dans un œuf. 

12 octobre 2023

maillage triangulaire en volume inscrit dans un oeuf transparent

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Un premier rendu de la structure de l'espace-temps à l'aide de DALL·E 3

Pour ne pas inscrire le résultat dans un cube, et ne faire référence qu'à des triangles, la forme de l'œuf est plus parlante. Mais on peut facilement imaginer que le maillage en volume est constitué de tétraèdres réguliers. On obtient ainsi une bonne approche de la structure de l'espace-temps, qui n'est pas limitée par une forme, et est donc infinie dans les trois dimensions. 

 

 

18 août 2023

Le dieu Hasard…

 

Comme le pendule d’une horloge déglinguée, un coup à gauche, un coup à droite nulle raison ne le contrôlant, aucun but ne le guide, un résultat innommable en résulte. Toute beauté lui est étrangère. Quand on ouvre le crâne du dieu hasard, pas même un pois chiche roulant sans cesse. Nul chant, nulle louange, nul espoir, le dieu hasard est désespérant. Le dieu hasard est un concept vide de sens.

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9 mars 2023

Du temps...

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Il faut à priori démontrer l'existence du temps. Pour l'espace, c'est assez simple nous sommes à l'évidence dans un espace à trois dimensions, nous l'acceptons comme un fait dès que nous ouvrons les yeux. Dans cet espace, nous constatons une vitesse limite, celle des ondes électromagnétique. De la vitesse, nous dérivons le paramètre temps, ce qui nous permet de dire, si un objet va à la moitié de la vitesse d'un autre objet, il met deux fois plus de temps pour parvenir à parcourir la même distance. Le déplacement est donc le fait réel. Sans avoir recours à ce paramètre, nous pouvons déterminer l'ordre de succession des évènements, et leur accorder un paramètre temporel, sans que celui ci n'ait en réalité la moindre existence.

Nous pouvons décrire un scénario temporel, et lui accorder une véracité la plus grande par rapport à toutes les théories possibles, tout en sachant qu'il ne s'agit pas d'une expérience car non reproductible.
La question de l'existence du temps est en effet une question complexe et souvent débattue en philosophie. Selon certains philosophes, l'existence du temps est une évidence immédiate, tandis que pour d'autres, il est nécessaire de la démontrer a priori. Kant, par exemple, considère que le temps est une forme a priori de notre sensibilité, sans laquelle une expérience ne serait pas possible [3].

En revanche, la question de l'espace est souvent considérée comme plus simple à traiter, car nous avons l'impression d'être dans un espace à trois dimensions dès que nous ouvrons les yeux. Cependant, certains philosophes soutiennent que l'espace n'est pas un concept empirique apporté par l'expérience, mais plutôt une forme a priori de notre sensibilité, nécessaire à toute expérience [3].

En physique, la relativité restreinte d'Einstein a introduit une nouvelle compréhension de la nature du temps et de l'espace. Dans la théorie d'Einstein, le temps et l'espace ne sont plus considérés comme des concepts absolus et indépendants, mais plutôt comme deux aspects d'un même concept appelé "espace-temps". Dans cette théorie, l'espace-temps est déformé par la présence de masse et d'énergie, ce qui conduit à des effets tels que la dilatation temporelle et la contraction des distances [1].

En conclusion, la question de l'existence du temps est complexe et nécessite souvent une analyse philosophique. Bien que l'espace à trois dimensions semble être une évidence immédiate, certains philosophes soutiennent qu'il est également une forme a priori de notre sensibilité. En physique, la relativité restreinte d'Einstein a introduit une nouvelle compréhension de la nature de l'espace et du temps, en les considérant comme deux aspects d'un même concept appelé "espace-temps".

11 février 2023

Quelques questions traitées avec l'aide de ChatGPT

Les photons du rayonnement fossile dues au Big Bang, viennent de la périphérie de l'univers, comment se fait il qu'ils ne se soient pas tous disséminés à l'infini ?

Les photons du rayonnement fossile du Big Bang ne se sont pas tous disséminés à l'infini parce qu'ils étaient en interaction avec la matière qui se trouvait dans l'univers primordial, ce qui a permis à ces photons de se propager à travers l'univers. Cette interaction avec la matière était très importante car elle a permis à la matière de se clumpifier pour finalement former les premières structures telles que les galaxies et les amas de galaxies.

De plus, l'univers a continué à se dilater au fil du temps, ce qui a permis aux photons de s'étendre sur de plus grandes distances et ainsi de ne pas se disperser complètement à l'infini. C'est en raison de cette expansion que nous pouvons observer le rayonnement fossile du Big Bang aujourd'hui à des longueurs d'onde très élevées, ce qui donne une image uniforme et homogène de l'univers dans ses premiers stades.

En somme, la combinaison de l'interaction entre les photons et la matière ainsi que l'expansion de l'univers ont permis de préserver le rayonnement fossile du Big Bang et de nous permettre d'observer aujourd'hui les vestiges de l'univers primordial.

Comment ces photons interagissent actuellement avec la matière ?

Actuellement, les photons du rayonnement fossile interagissent très peu avec la matière dans l'univers. Cependant, ces photons peuvent encore rencontrer des objets massifs tels que des galaxies ou des amas de galaxies, et être déviés par leur champ gravitationnel. Cela peut entraîner un phénomène connu sous le nom de lensing gravitationnel, où la lumière est courbée en raison de la gravité d'un objet massif.

De plus, ces photons peuvent également être absorbés par des atomes et des molécules dans la matière intergalactique, ce qui peut affecter leur trajectoire et leur énergie. Cependant, dans l'ensemble, les photons du rayonnement fossile interagissent très peu avec la matière dans l'univers actuel, ce qui explique pourquoi nous pouvons toujours observer ces photons avec une précision remarquable.

En conclusion, les photons du rayonnement fossile continuent d'interagir avec la matière, mais ces interactions sont très faibles par rapport à celles qui ont eu lieu dans l'univers primordial.

Quand ils sont absorbés par la matière, ils disparaissent

Oui, c'est correct. Lorsqu'un photon est absorbé par une particule de matière, il est converti en énergie interne de la particule et disparaît du champ électromagnétique. Cependant, cette énergie peut être réémise sous forme de nouveaux photons lorsque la particule se désexcite.

Il est important de noter que les photons du rayonnement fossile sont très difficiles à détecter en raison de leur faible intensité et de leur longueur d'onde très grande. Cependant, en utilisant des instruments tels que des télescopes spatiaux dédiés, nous sommes en mesure de les observer avec une grande précision et de les étudier pour en apprendre plus sur les premiers stades de l'univers.

Quand ils sont réémis, c'est dans toutes les directions

Oui, c'est exact. Lorsque la particule se désexcite et émet un photon, celui-ci est généralement réémis dans toutes les directions de manière aléatoire. Cependant, la direction de la réémission dépendra de la nature et de la structure de la particule qui se désexcite ainsi que de l'environnement qui l'entoure.

Il est important de noter que, même si la réémission des photons est généralement aléatoire, certaines propriétés statistiques peuvent être prévues en fonction des conditions initiales. Par exemple, la réémission peut être polarisée, ce qui signifie que le photon n'est émis que dans une direction particulière. Cette polarisation peut nous donner des informations sur l'environnement ou la structure de la particule qui émet le photon.

En conclusion, la réémission des photons dépend de la nature et de la structure de la particule qui se désexcite ainsi que de son environnement. Bien que la réémission soit généralement dans toutes les directions, certaines propriétés statistiques peuvent être prévues et nous donner des informations sur l'environnement de la particule.

Donc ces photons sont comme dans un immense jeu de flipper, rebondissant sans cesse

On peut en effet considérer les photons du rayonnement fossile comme des boules de flipper qui rebondissent constamment à travers l'univers. Les photons sont continuellement émis et réémis par les particules de matière, en interagissant avec d'autres particules et en étant déviés par les champs gravitationnels.

Cependant, il est important de noter que les photons du rayonnement fossile ont un parcours différent de celui d'une boule de flipper dans un jeu de flipper. Les photons peuvent être absorbés par la matière, ce qui signifie qu'ils peuvent disparaître de la vue, mais peuvent également être réémis par d'autres particules. De plus, les photons peuvent être déviés par les champs gravitationnels, ce qui signifie qu'ils peuvent suivre des trajets sinueux à travers l'univers.

En conclusion, bien que la métaphore de la boule de flipper peut aider à comprendre le comportement des photons du rayonnement fossile, il y a des différences importantes entre les deux phénomènes qui doivent être prises en compte. Les photons du rayonnement fossile sont soumis à des interactions complexes avec la matière et les champs gravitationnels de l'univers, ce qui les fait suivre des trajets uniques et souvent complexes.

Il est alors difficile d'interpréter la carte du rayonnement fossile, car ce que l'on voit venant d'une direction n'est pas une image de la bordure de l'univers


C'est correct. La carte du rayonnement fossile n'est pas une image directe de la bordure de l'univers, car les photons qui la composent ont suivi des trajets complexes à travers l'univers avant d'arriver jusqu'à nous. Les photons peuvent être déviés par les champs gravitationnels, absorbés et réémis par les particules de matière, ce qui signifie qu'ils ne suivent pas nécessairement une trajectoire droite depuis leur source jusqu'à nous.

Cependant, la carte du rayonnement fossile peut nous donner des informations sur la structure de l'univers et sur les conditions prévalant lors de ses premiers stades. Par exemple, en étudiant les variations de la température du rayonnement fossile, nous pouvons en apprendre plus sur la distribution de la matière dans l'univers, y compris la présence de structures telles que les amas de galaxies.

En conclusion, la carte du rayonnement fossile n'est pas une image directe de la bordure de l'univers, mais peut nous donner des informations sur la structure et les conditions prévalant lors de ses premiers stades en étudiant les variations de la température du rayonnement fossile. Les photons qui composent le rayonnement fossile suivent des trajets complexes à travers l'univers, ce qui rend difficile une interprétation directe de la carte.

24 janvier 2023

Un traitement simple contre l'inflamation

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L’Artemisia est une plante médicinale qui a été utilisée pour traiter le paludisme et qui a des propriétés antimicrobiennes et antivirales. Des études montrent que l’Artemisia pourrait apporter des effets anti-inflammatoires en combinaison avec d’autres éléments tels que le curcuma et la cannelle. Il est possible de préparer un mélange à base d’Artemisia réduite en poudre avec un tiers de cannelle et un tiers de curcuma mélangés avec du miel pour obtenir une pâte. En prenant une cuillère à café de ce mélange plusieurs fois par jour, on peut profiter d’un soulagement contre diverses affections telles que le paludisme et la COVID-19. De plus, le mélange permet d'adoucir le goût désagréable de l'Artemisia. Enfin, des personnes ayant des polypes nasaux qui n’ont pas réagi aux traitements chirurgicaux ont signalé des améliorations significatives après avoir consommé ce mélange. Il est donc conseillé de tenter cette méthode, tout en restant prudent et en gardant à l’esprit que ces résultats sont non garantis.

Pour moi et mon amie, on note une amélioration significative. 

7 octobre 2022

« La Résurection du Christ »

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Au fond, les herbes amères, du houblon qui sert à faire la bière, souvenir de la sortie d'Égype de Moise et de tout son peuple.

Du pain au levain, plus rien ne presse après la résurrection.

Du vin rouge, comme le sang, commémoration de la mort de Jésus, et du vin blanc, deux verres représentant le catholicisme et les autres branches du christianisme, moment partagé en mangeant quelques noix avec le pain, moment de dialogue.

Trois noix pour représenter le module de base de la structure de l'espace-temps, un cerneau montrant l'analogie avec le cerveau. 

Le résumé de tout une évolution, avec la résurection qui a permis de structurer la pensée humaine, Dieu est dans sa création, à la surface de la structure de l'espace-temps.

 

12 février 2022

Trou vert

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Le trou vert, espèce de trou noir qui a pris de la couleur, est une zone de l'espace-temps qui absorbe en la compressant toute la matière qui passe à sa portée. Une fois absorbée, impossible d'y échapper ou d'en ressortir. Il en est de même de la lumière qui transite par le biais de la structure de l'espace-temps. Quel rapport avec les aiguilles flottant à la surface de l'eau d'une soucoupe de verre ? Et bien c'est le même phénomène qui est à l'œuvre dirait Einstein. La matière stresse la structure de l'espace-temps, la mettant sous tension, et la tension de réduit dans l'ensemble de la structure de l'espace-temps quand elle s'y réunit. C'est un peu comme quand on se gratte la peau, cela soulage...

Évidemment cette représentation est un peu tirée par les cheveux. Elle mélange 2D et 3D pour la confusion de tous, malheureusement. Il faut imaginer la structure de l'espace-temps comme un grillage formé de tétraèdres élastiques. La matière les déforme en s'y frottant, et plus il y a de matière, et plus les tétraèdres sont comprimés.

Il y a donc un équilibre dynamique entre matière et tension de la structure de l'espace-temps. Cette tension se résorbe en partie quand la matière s'agglomère, tout comme le mouvement des aiguilles flottant sur l'eau...

11 février 2022

Épingle flottant sur l'eau

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En posant délicatement une épingle à la surface de l'eau, au lieu de couler à pic, l'épingle en fer flotte en creusant une petite vallée dans l'eau, la tension superficielle de l'eau ne mouille pas la surface de l'épingle, et celle-ci  même non magnétisée,  s'oriente cependant dans le champ magnétique terrestre. Nous allons rajouter une seconde épingle, et allons constater comment le système évolue. 

Entre les deux épingles, les petites vallées se rencontrent en créant un col, et les deux épingles glissent alors l'une vers l'autre. Nous disposons là d'une représentation de la théorie de la Relativité Générale d'Einstein. Les masses déforment la géométrie de la structure de l'espace-temps, en mettant celle-ci sous tension. Lorsque la matière s'agglomère, la tension diminue dans la structure. La pression élastique qu'excerce la structure de l'espace-temps sur la matière, crée la force gravitationnelle qui pousse les objets les uns contre les autres. C'est une illustration de la Pomme de Newton, c'est aussi la base de formation des trous noirs. 

7 janvier 2022

La casse apparait, et ce n'est pas brillant...

Les surprises d'analyses de sang de personnes vaccinées

Les surprises d'analyses de sang de personnes vaccinées

https://rumble.com

 

20 décembre 2021

La TV brasse du vent souvent, pour se détendre l'esprit il y a Youtube...

18 décembre 2021

Einstein ne s'est pas trompé, mais il n'a pas pu le démontrer.

A l'aide d'un compteur Geiger et d'une horloge, je fabrique une suite de 0 et de 1 de la façon suivante. Chaque désintégration se produisant dans la première moitié de chaque seconde est marquée 0, chaque désintégration se produisant dans la deuxième moitié de la seconde est marquée 1 Pas la peine d'avoir un photon traversant un miroir et de disposer de deux capteurs. Il y a toujours un bruit de fond sur un compteur Geiger, et s'il n'y en a pas assez, un petit morceau de minerai d'uranium suffira à augmenter significativement le nombre de désintégrations. Il est impossible de définir à priori la suite obtenue. De là à parler de suite et de nombre quantique, pourquoi pas... Pour Einstein, il a réellement raison face à Bohr. Dieu n'est contraint par rien. Comme tout artiste, il continue à s'occuper de sa création. Le tout est de savoir comment : situé à la surface de la structure de l'espace temps, en une couche infiniment mince, il sait la position et la vitesse de chaque atome, et peut à loisir modifier son cheminement. Cela explique les miracles à Lourdes. Einstein a compris que la vitesse de la lumière était une constante absolue, qui ne dépend ni de la vitesse de la source, ni de la vitesse du capteur qui l'absorbe. La vitesse de la lumière est une propriété du cadre qui permet sa propagation, c'est à dire la structure de l'espace-temps. Einstein a déterminé que la matière déforme la structure de l'espace-temps, et qu'en retour, cette structure régissait la trajectoire de la matière et de la lumière. Einstein n'a pas sur déterminer la forme de la structure de l'espace-temps, car il a commis tout comme les autres physiciens, l'erreur de croire que l' ether luminifère était un milieu homogène qui occupait tout l'espace. Il n'a pas su se mettre à la place de Dieu en amont de la création, pour déterminer avant que le Big-Bang advienne, quel devait le lieu construit pour que l'Histoire de l'humanité puisse s'y dérouler.

 

16 février 2021

Je ne voudrais pas mourir avant...

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de faire un tour sur ma voiture électrique dans la forêt et de rouler sur des pistes improbables, avant de rejoindre une gare de monorail transfrontalier pour traverser le France en peu de temps, et embarquer à bord de mon bateau pour rejoindre la Terre Promise et gouter le vin de Cana afin de savoir si cela justifiait le miracle de changer l'eau en vin, et monter sur l'échelle de Jacob pour contempler un vol de pigeons planant au dessus de l'alias du Troisième Temple. 

Sinon je crois qu'il me manquerait définitivement quelque chose avant ma mort... demain, Mercredi des Cendres.

14 février 2021

Louis de Broglie, particule et mode vibratoire.

Le photon n’a pas de masse, c’est donc juste une certaine quantité d’énergie qui se déplace en mode vibratoire dans la structure de l’espace-temps.
L’électron qui est une particule ponctuelle passe par une des deux fentes lors de l’expérience des fentes de Young. Les ondes passent par les deux fentes, les particules par une seule, mais l’énergie quantifiée qui leur est associée les guident dans l’espace selon les interférences des modes vibratoires de la structure de l’espace-temps. L’orthodoxie qui considère la dualité onde-particule doit être abandonnée.
La représentation permet de poser les conditions initiales, et d'en tirer un modèle descriptif que l'on peut mentalement se représenter. Ensuite le calcul et l'expérience viennent confirmer le choix effectué initialement par la représentation. 

10 février 2021

Physique quantique et structure de l'espace-temps

Comment comprendre le comportement ondulatoire d'un électron et son aspect corpusculaire ? Les ondes se déplacent par le biais de la structure de l'espace-temps, que ce soit pour de l'énergie pure comme pour les photons ou des ondes associées aux corpuscules matérielles.  La structure de l'espace-temps complète à merveille cette représentation. Elle permet en outre d'expliquer et de comprendre le phénomène de temps propre des horloges atomiques qui se déplacent les unes par rapport aux autres. 

5 février 2021

Construire son horloge atomique dans sa cuisine...

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On peut tous se procurer un petit échantillon de pechblende, aux abords d'une ancienne carrière de minerai d'uranium abandonnée. En le plaçant contre un compteur Geiger, on enregistre un certain nombre de désintégrations. La demie vie de l'uranium 238 est 4,4688 milliards d'années (soit proche de l'âge de la Terre). On peut alors considérer que le rythme de désintégration est constant pour les expériences que l'on veut mener. Nous disposons alors d'une horloge naturelle. Si l'on dispose du nombre annuel de désintégration de notre échantillon, nous pouvons calculer le nombre nécessaire pour déterminer la seconde, la minute, l'heure. De simples division nous le permettent.

Nous supposons que c'est la rencontre entre les atomes et la structure de l'espace temps qui induit la désintégration spontannée, ce qui explique ainsi sa régularité. L'hypothèse du simple hasard serait pour le moins catastrophique, rien n'interdirait que tout se désintère à un moment donné, réduisant la terre entière en un mini Big-Bang. 

Disposant ainsi d'horloge indiquant leur temps propre, nous pouvons tester la théorie de la relativité générale d'Einstein, en reproduisant d'une façon simplifiée l'expérience de Hafele-Keating réalisé en 1971. ( Des horloges atomiques synchronisées furent embarquées dans deux avions commerciaux qui firent deux fois le tour du monde, l'un vers l'est et l'autre vers l'ouest.) 

Le temps propre mesuré par une horloge entre deux points de l’espace-temps ne dépend
pas uniquement d’une date de début et d’une date de fin, mais de la trajectoire de
l’objet (sa séquence d’événements) pour aller du point A au point B. Les
expressions « l’horloge bat moins vite » ou « le temps s’écoule moins vite » ne
devraient pas être employées car elles véhiculent l’idée fausse selon laquelle il
existerait un flux temporel et que le rythme des horloges serait affecté. C’est le
nombre de secondes qui varie d’une horloge à l’autre, et non la seconde qui se
contracte ou se dilate.

Rappelons-le une nouvelle fois : la relativité restreinte permet d’étudier
complètement n’importe quel mouvement et le point de vue d’observateurs
quelconques (accélérés ou non). Le cadre cinématique qu’elle propose est tout à
fait universel. La relativité générale n’est requise que si l’on doit tenir compte
d’effets gravitationnels.

Hafele et Keating constatèrent donc que les horloges parties vers l’est
retardaient par rapport aux horloges au sol d’environ 60 nanosecondes, tandis que
celles parties vers l’ouest avançaient de près de 300 nanosecondes. Les résultats
obtenus furent en accord avec les prédictions théoriques à 10% près.

L’originalité de l’expérience de Hafele et Keating tient dans ce qu’elle est la première à mesurer des différences de temps propres cumulés. Nos jumeaux se retrouveront donc bel et bien avec un âge différent.

En fait, on peut voir dans la désynchronisation des horloges parfaites l’effet premier (purement relativiste) d’où découlent de nombreux effets secondaires tels que l’effet Doppler transverse, l’effet Einstein ou le flux des muons cosmiques à la surface de la Terre. En résumé, l’expérience de Hafele et Keating est la première à montrer de façon directe (avec des horloges macroscopiques) que la multiplicité des temps propres est bien réelle et que le temps universel unique doit être abandonné.

 L’expérience de Hafele et Keating est cruciale à plus d’un titre : elle confirme la validité de « l’hypothèse de l’horloge », selon laquelle les horloges, quel que soit leur mode de fonctionnement (clepsydres, sabliers, horloges à pendule, horloges atomiques…), mesurent le temps propre tel que prédit par la relativité ; et valide la prédiction de la relativité restreinte concernant la désynchronisation cinématique des horloges parfaites (avec un terme dépendant de la direction du voyage).

En remplaçant les horloges atomiques basées sur le saut d'un électron d'une orbite éléctronique à une autre, par une horloge atomique basée sur la désintégration de noyaux atomiques ( comme celle concotée dans ma cuisine ), on doit pouvoir retrouver les mêmes résultats avec une précision accrue.

On peut définir deux protocoles :

  1. Placer mon horlogue à bord de satellites orbitant autour de la terre, dans un sens, et en sens inverse.
  2. Sur terre, une horloge de ce type en situation statique, l'autre tournant en rond entrainée par un moteur électrique.

L'explication du temps propre serait alors le nombre de "ticks", le choc de chaque atome sur la structure de l'espace-temps.

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Mais pour confirmer l'existence du mécanisme de désintégration radio-active spontannée par la rencontre des noyaux avec la structure de l'espace-temps, nous pouvons mener augmenter le nombre de rencontre en plaçant notre horloge sur un moteur en rotation, et voir avec le temps que le nombre de désintération enregistré par notre compteur est supérieur à ce qu'il serait s'il était resté au repos.

5 février 2021

De la constance de la vitesse de la lumière...

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Les électons orbitent selon certaines valeurs d’énergie quantiques bien définies, autour du noyau de l'atome. Ils peuvent passer d’une orbite à une autre s’ils reçoivent ou perdent, une certaine quantité d’énergie. Cette transition d’une orbite à une autre constitue un saut quantique. 

  • L'électon est représenté sous la forme d'une petite boule rouge, qui devient verte en émettant un photon (en orange).
  • La structrure tri-dimentionelle de l'espace-temps est représentée par un grillage triangulaire en plan.
  • Le noyau de l'atome est centré sous la forme d'une petite spère multicolore.
  • Deux orbites électroniques sont représentées par deux spères concentriques centrées sur le noyau.

Quand un électron perd de l'énergie en passant d'une orbite à une autre, il émet un photon, c'est à dire une certaine quantité d'énergie qui se transmet alors dans la structure de l'espace-temps.  La vitesse de l'électron se déplaçant sur ce saut esqt égale à celle de l'onde sur la structure. Le déplacement de cette onde n'est pas liée à une vitesse de déplacement de la structure de l'espace-temps. On ne peut donc pas déterminer à partir du train d'onde injecté sur la structure de l'espace-temps, la vitesse de cette dernière par rapport aux atomes. 

Cela conduit à l'échec de l'expérience du Michelson et Morley

Pour déterminer une vitesse spécifique de déplacement de la structure de l'espace-temps, passer par la variation de désintégration spontannée d'un corps radioactif sur une distance plus grande semble âtre le meilleur choix à faire.

10 janvier 2021

Le scénario vraisemblable pour l'origine

Les fondements de base :

  • Du néant rien ne peut surgir spontanément. 
  • Imaginer le néant ne change pas sa nature, il reste ce qu'il est, le néant. Le nommer ne le modifie pas.
  • L'opposé du néant, c'est quelque chose qui est par sa seule nature.
  • Nous sommes dans le spectacle de l'univers, nous constatons son existence, l'univers est.
  • Il y a de l'être dans l'univers, philosophiquement parlant.
  • Il y a de l'être dans l'Être.
  • L'Être est celui qui Est, son nom est donc "JE SUIS"
  • L'Être peut imaginer le néant, l'inverse n'est pas possible.
  • L'Être est donc l'origine

Le vitesse de l'expansion de l'univers augmente, avec une limite indépassable, la vitesse de la lumière. Il n'y a donc pas une possibilité de Big-Crunch, qui supposerait un ralentissement constant de la vitesse d'expansion pour disposer d'un univers jouant de l'accordéon. 

Notre univers continuera son expansion sans jamais atteindre les limites infinies de l'espace-temps.

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