30 décembre 2009
Les pauvres lapins.
Pendus par le cou, innocents tout comme le pauvre Akmal Shaikh se faisant piéger à transporter de la came au travers de la frontière chinoise, pour plus pervers que lui, il reste à souhaiter pour les nouvelles années de la petite merveille, couchée dans son berceau, en plus du regard aimant de la vieille tante émerveillée, une ère de prospérité sociale démocrate réformiste, permettant à tous les innocents, d'aller jusqu'au bout de leurs rêves, sans avoir à subir la bêtise crasse des oligarchies stupides, incapables de trouver le bon bout de la raison.
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