Passer de la cueillette à l’hyper-économie

La redistribution est basée sur la cueillette de valeurs sur la libre entreprise. Taxes et impôts sont collectées sur le chiffre d’affaire et les bénéfices sans concertation avec les entrepreneurs. C’est brutal comme démarche, les dirigeants d'entreprises se débrouillent comme ils l’entendent pour monter leur affaire, mais sont ensuite taillables et corvéables par l’État et le politique. Le moyen âge en quelque sorte. Mettre en culture, en élevage tel que l’humanité passée du stade de cueillette à celui de laboureur afin de disposer de plus de ressource est la conditions pour disposer au final de plus de richesses. C’est donc une technique nouvelle à mettre en œuvre pour dynamiser l’économie et passer du stade d’un SMIG de 1500 euros à 4000 euros en conservant un étalement large des salaires, motivation indispensable pour le travailleur à s’élever dans la hiérarchie des rémunérations. Doper mécaniquement la création d’entreprises innovantes dans le cadre de la mondialisation ne peut se faire qu’en mettant en place un capital risque surabondant, seule méthode pour émerger au niveau mondial en permettant de vendre des produits dégageant une forte marge sur de vastes marchés.