La mariée au bras de son père, direction la mairie. La Meuse, un pays calme hors guerre.

Verdun et la grande guerre sont omniprésents dans le décors de la mairie. Les traces de ce passé sont indélébiles, et cependant, la vie joyeuse continue.

L'incroyable église de Rembercourt Sommaisne, énorme bloc de pierre pour un petit village planté au beau milieu de la Meuse.

Toute la parentèle était représentée, Jehanne Sybille d'ARC, Sainte et bergère, avec un bouquet blanc à ses pieds...

Premier arrêt, l'école du village pour accueillir le maximum d'amis et commencer la fête...

Toute la mise en place, l'intendance, le travail de préparation; avant que les verres se vident.

L'heure de la fraternité a sonnée, toutes les bonnes âmes se dévouent, soit à remplir, soit à vider. La circulation s'établit.

Les nouveaux mariés dans leur nouveau rôle, au service de l'altérité, disponibles à la parole de l'autre. Unis donc dans un même projet.

Arrivé au château de Thillombois. Le choc, après avoir écrabouillé un faisan errant sur une route erratique. La Meuse, quelle histoire...

L'autoportrait classique à l'iphone dans une salle de bain. C'est grand, c'est beau, c'est propre, et c'est vraiment l'inconnu.

Le grand plaisir des seniors, écouter et parler, la sagesse en plus.

Si l'univers résulte d'un cadre et d'une action ayant permis son expansion, envisager un fonctionnement en accordéon, semble être une hypothèse spécieuse destinée à masquer l'origine, et à autoriser l'errance intellectuelle. La thèse de l'accordéoniste sourd, ne prenant plaisir qu'au jeu de ses doigts sur les petites touches nacrées de son instrument, masque de fait le but, entendre la musique. On peut également, sur la base du mouvement bielle manivelle du moteur à explosion, ne pas mettre en avant le démarrage du dit moteur, une fois celui-ci lancé. L'argument est de dire qu'une rencontre, laisse fatalement des traces, et que l'après, ne redevient jamais l'avant. Si la gravité soude ensemble toute la matière, nous n'aurons qu'un gros trou noir au final, et sans espoir de recommencer un nouveau cycle similaire au Big-bang. L'hypothèse d'un univers éternel, bégayant à l'infini, n'est donc pas pertinente.

Il faut bien que jeunesse se détende au son de la musique...

Les finalistes du concours des bras croisés...

et les vainqueurs du concours les bras dans le dos.

Un petit enfant dans les bras de la futur maman, la suite des générations se passe le flambeau de la vie.

Le pot au feu hilarant, ayant mijoté de longues heures sur une cuisinière alimentée au bois, existe encore, et c'est un pur délice que de le déguster. La noce dure deux jours quand le cadre s'y prête.

La légèreté de la plume, le poids des responsabilités, et la vie des créatures qui croît et se développe, tout un symbole pour représenter ce moment émouvant passé en Meuse. ;-)

Décontraction,

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