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Avenir de la Lorraine
17 février 2015

Renouveau.

Claude Bourguignon - Protéger les sols pour préserver la biodiversité

Pour avoir de la nouriture saine et goûteuse dans son assiette, il faut cultiver et planter sur des sols vivants et riches. En plus c'est facile à obtenir, une broyeuse pour disposer de bois broyés, et les restes organiques directement épandus sur la terre. Moins de travail et plus de plaisir, et aucune chimie pour empoisonner l'humanité.

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Commentaires
J
Bonjour.<br /> <br /> Je suis entièrement d'accord avec les propos tenus par Mr. Bourguignon, et concernant les dégâts occasionnés par cette culture intensive et mécanisée et sinon monoculture intensive du maïs ou..maïsi-culture à travers tout le pays et ce depuis..1970. Le G.A.T. et la P.A.C. ont créé et favorisés tout cela, aidés en cela par ces aides et subventions européennes qui ont rendu et rendent les agriculteurs dépendants de tout un système corrompu dont lobbyistes d'intérêts, tant à Bruxelles, que les 150 par pays, dont la France. On en est malheureusement là, triste et amer constat, sans oublier la pollution de nos sols (cultivables et non..), de nos cours d'eau et nappes phréatiques.<br /> <br /> On a détruit et érodé le sol par l'emploi ''massif'' et..déraisonné du ''Roundup'', durant quarante ans ! Si de plus, on s'appuie, et pas seulement, sur les conditions d'élevage, sans avoir besoin pour autant de faire référence au groupe américain 'Smithfield'' en Roumanie, pour l'élevage de porcs, et la charcuterie sous vide (dont jambon ''Aosta''..), il ne faut pas s'étonner, ni être surpris que l'on soit dans un contexte innomable de..''Malbouiffe''..je cite. La ''biodiversité'' en dynamique du sous-sol, avec toutes les espèces (dont lombric et autres verres de terre..) qui participent normalement et naturellement à l'aération, à l'irrigation interne naturelle, a été détruite; et il faut pour pouvoir rencontrer à nouveau cela creuser à 1,20-1,50 m de profond, avant, il n'y a plus..rien ! L'arrosage intensif de la culture du maïs (plan développé en laboratoire et hybride, bien avant le ''Mons 810'' de Monsantos..) et le traitement intensif tant en pesticides que insecticides participe à la pollution des nappes phréatiques et donc de l'eau au robinet. Ce n'est pas mieux pour la vigne et le vin...!<br /> <br /> Voilà ce que j'avais à dire et mettre en participation et point de vue.<br /> <br /> Bonne journée..Denis.
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