11 mars 2012
Référendum du 10 juin « moralisation de la vie publique »
Un citoyen a bien le droit de dire, en étant entendu, que la proposition politique qu’on lui fait ne lui convient pas. Au moins au 1er tour, il ne faudrait pas qu’on puisse être élu si on n’a pas la majorité des suffrages exprimés, votes blancs pris en compte. La démocratie de notre pays doit être respectable pour être respectée.
La tribune de l’Assemblée Nationale doit redevenir un lieu de libre expression, de force de la parole, de capacité de mise en cause, d’interrogation, de contrôle, de rébellion ou de résistance, s’il le faut.
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