Permanence du phénomène

Pour démontrer que la désintégration radioactive dite spontanée, ne l'est pas, une deuxième série de mesures, indépendantes de la première, doit faire ressortir les mêmes variations liées au temps. Il s'agit ensuite d'extraire les variations cycliques par une transformée de Fourier à l'aide d'un logiciel spécifique. Peu de temps s'étant écoulé entre les deux séries de mesures, il devait être possible de raccorder artificiellement les courbes à l'aide d'un logiciel de dessin. On constate alors la continuité et la stabilité générale permettant de passer d'une courbe à une autre. Le phénomène est donc constant dans le temps. La prochaine série de mesure va s'étaler sur 32 jours, afin de pouvoir déterminer plus précisément la valeur des fréquences. Mais dès à présent, il est possible d'affirmer un effet du cadre formé de l'espace-temps sur la matière. Le hasard n'y est pour rien. Cela oblige à une révision complète des fondements de la physique, avec une obligation d'intégrer un effet dynamique du cadre sur la matière, la structure gélifiée de l'espace-temps.