Einstein 1 Niels Borh 0

Dieu ne joue pas aux dés; derrière cette phrase simplette, toute la question philosophique du XX siècle est inscrite. Soit Dieu, soit le hasard. Le hasard n'est pas scientifique. C'est un concept qui permet d'indiquer l'ignorance du déroulement d'une situation incontrôlable. La désintégration atomique existe, mon compteur Geiger la mesure. Mon notebook à l'aide de certains logiciels en trace la courbe. Petit à petit, améliorant les conditions expérimentales, je constate une variabilité que les fondements de la mécanique quantique ont ignorée. La désintégration spontanée ne l'est pas; l'affirmation « Un radionucléide quelconque a autant de chances de se désintégrer à un moment donné qu'un autre radionucléide de la même espèce, et la désintégration ne dépend pas des conditions physico-chimiques dans lesquelles le nucléide se trouve. En d'autres termes, la désintégration est régie par le hasard » est platement fausse, car le hasard ne peut pas suivre bêtement une courbe sinusoïdale, et être fonction de la variation de gravité liée au mouvement de la lune. Étonnant Albert, non ? Tout ceci confirme la forme de la structure de l'espace-temps, une forme simpliste.